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100 km de la Sologne des étangs (41) - Edition du 29/08/2009 (version hubert75003)
hubert75003

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 gniaqueur

  Posté : 01-09-2009 19:18

100 Km de la Sologne des Rivières

Le site de l'épreuve : http://couc100km.free.fr/Accueil%20COUC.html

D'après le site, le parcours qui accueillait en 2008 le championnat de France de la distance a été modifié c'est donc un nouveau tracé sans grande difficulté que nous allons découvrir cette année.



Remontons d'abord au mois de juin pour découvrir les raisons qui m'ont poussé à m'inscrire à cette compétition.
Mi juin, compte tenu des finances et que mon épouse n'a plus de travail les vacances vont être annulées, désolé pour Patrick qui va devoir partir sans nous cette année.

Un peu la haine, pour me calmer j'ai envie de courir.
Je suis donc à la recherche d'une course longue distance pour le mois d'août.
Début juillet en consultant le site de pgaz http://www.marathons.fr, je ne trouve pas de marathon dans la période qui m'intéresse mais en regardant la rubrique des 100 km en France je tombe sur les 100 km de Sologne.
En visitant le site internet de l'épreuve je vois qu'un 50 km est aussi à l'ordre du jour. Je vais quand même pas refaire un cent bornes 3 mois après celui de Steenwerck mais tant qu'à me déplacer autant le faire pour une grande cause.
Le prix de l'inscription est raisonnable, c'est pas trop loin de Paris, on peut dormir gratos dans un gymnase, à la limite je peux dormir dans la voiture. Un petit déjeuner nous est proposé pour 2 euros de plus.
Mi-juillet c'est presque décidé, ce sera la plus grande distance mais encore faut-il que ma femme soit d'accord, ça c'est une autre histoire.

Fin juillet, Pascal rentre de vacances. Je lui annonce ma participation à cette épreuve aussitôt il me dit "c'est dans le département du Loir et Cher où habitent ses parents, je t'accompagne en vélo".
Et voilà comment nous nous sommes retrouvés alignés au départ de cette course non sans avoir du être persuasif auprès de ma chérie.

J'ai profité un maximum de mes congés au mois d'août pour accumuler des kilomètres, surtout la semaine que j'ai passé chez mes beaux parents dans la Nièvre.

Mercredi 26.
C'est mon dernier jour de congés. Ce sera aussi le jour où une catastrophe va se produire : je reçois sur le pied un gros objet. C'est le gros orteil du pieds droit qui a tout pris et qui me fait mal. Pas de sortie ce soir.

Jeudi 27, Pascal m'accompagne pour cette dernière sortie de préparation et je suis rassuré car je ne ressens aucune douleur à l'orteil en courant.

Vendredi 28.
On charge la voiture. On y met le vélo, les sacs préparés avec attention, rien n'est oublié. Vers 13 h 30 nous prenons la route en direction de Theillay pour aller récupérer nos dossards puis nous irons ensuite chez les parents de Pascal à environ 50 minutes de là.

Le voyage se passe bien et même si à la sortie de Salbris on se plante un peu nous trouverons assez facilement le foyer rural où sera donné le départ le lendemain matin.

Il y a peux de monde dans la salle. Nous récupérons très rapidement nos dossards puis on me demande de choisir entre une assiette et un plateau. Pascal aura droit à un tee-shirt accompagnateur.

De retour à la voiture nous repartons vers La Ferté Imbault pour photographier un beau petit château que nous avions vu au passage puis direction Mareuil sur Cher via Romorantin-Lanthenay.
Pascal me dit connaître la route mais finalement on a du reprendre l'autoroute...





Nous arrivons quand même à bon port et ce fût une joie de revoir les parents de Pascal depuis leur départ en retraite en 1998. Pour la petite histoire, ses parents travaillaient aussi aux Archives nationales et sa maman a été ma chef pendant 7 ans.
Bref, après ces retrouvailles, une visite du jardin puis j'ai fait la connaissance des nombreux animaux de la famille : poules, canards, faisans, chats, poissons, lapins, oiseaux...

Le soir, apéro oblige pour récupérer de cette dure journée et c'est déjà l'heure de goûter les pâtes que biloute à apporté dans ses bagages mais avant d'aller nous coucher nous attendons l'arrivée du frère de Pascal qui rentre de vacances et qui fait une petite pause chez ses parents.

Il se fait tard, demain il faut se lever tôt alors au dodo.

Samedi 29
4 heures du matin Pascal me sort du lit. Il n'a pas beaucoup dormi de peur de ne pas entendre le réveil. Pour moi aussi la nuit a été courte, la pression sans doute.
Au menu du petit déjeuner, pâtes puis un café. A peine avalé nous devons déjà partir. Jean-Loup, le frère de Pascal nous a prêté son GPS (j'ai oublié le mien) ce qui nous évitera de nous égarer et de perdre du temps.

5h40 nous garons la voiture au centre du village non loin de l'arrivée et nous nous préparons. C'est déjà tendu. Je trouve pas ma boite d'épingles pour fixer nos dossards. Il fait sombre, j'ai beau regarder dans tous les sacs aucune épingle. Nous en trouverons auprès de coureurs garés derrière nous qui auront la gentillesse de nous dépanner, merci à eux !



Quelques photos puis nous nous dirigeons vers la ligne de départ. En nous approchons Pascal entend le speaker annoncer le départ des accompagnateurs, nous sommes à la bourre, c'est l'heure de la séparation. Encore 15 minutes avant le départ, j'ai froid. On se réchauffe comme on peut. Au micro on annonce 160 participants sur le 100 km et 60 sur le 50 km puis départ dans 5 minutes.

6H30 c'est la délivrance, Monsieur le maire de Theillay donne le départ. Il fait sombre, la rue est étroite je pars pépère.

KM 4
Les accompagnateurs nous attendent. Je ne vois pas Pascal mais je me dis qu'il a du se mettre dans les derniers pour pouvoir filmer, j'avais raison.
Après ces retrouvailles nous constatons que certains coureurs sont suivis par des voitures qui nous passent tranquillement et heureusement en faisant attention aux coureurs et aux cyclistes.

Nous sommes dans la magnifique forêt de Vierzon, il fait frais, j'ai beaucoup de mal à me réchauffer. D'après ce qu'on nous a dit il faisait 4° au départ. Mais cela ne nous empêche pas de continuer notre route en prenant une cadence de 5'57 au kilo, soit 10 km/h.

Sur le bord de la route nombreux sont les coureurs a faire des pause pipi. Ca rigole bien dans le peloton, la bonne humeur règne mais durera t-elle jusqu'au bout ?

Tous les 5 km environ nous trouvons un poste de ravitaillement. A chaque fois je grignote un peu et bois une gorgée d'eau.

KM 13
En pleine discussion avec un coureur originaire d'Autun (71) les premiers sont déjà sur le retour de Salbris en direction de La Ferté Imbault. Le premier à une très belle foulée et il a déjà creusé l'écart. Est-ce bien lui qui terminera premier je ne sais pas.

Nous entrons enfin dans la première ville traversée par la course, Salbris.



Nous nous retrouvons dans le quartier de la gare de la gare puis nous filons vers le centre ville. C'est là que le 50 km prend une autre direction. A chaque carrefour des signaleurs sont là pour nous guider et nous protéger en plus du marquage au sol, nickel.

Demi tour direction La Ferté Imbault. Sous un pont ferroviaire nous voyons une banane sur le sol. Est-ce un piège ?

A partir de là et pendant 7 kms environ nous allons croiser les concurrents qui sont derrière nous.
J'encourage quasiment tous les coureurs que je croise. La majorité me renverra l'appareil, sympa !
Dans Salbris je vais croiser un marcheur du 50 km, il est déjà là en marchant, très fort le gars, bravo.

KM 23
Le soleil est désormais présent mais ma peau est encore fraiche, j'ai beaucoup de mal à me réchauffer.
Pause soulagement pour ce qui me concerne et devinez, Pascal ne peut pas s'empêcher de sortir l'appareil photo.
Sympa mon coéquipier !

Je repars à la hauteur d'un coureur de la région parisienne et pendant 2 km nous resterons ensemble à papoter, pire que des nanas...

KM 25
Nous allons nous perdre au ravito où je vais repartir plus vite que notre compagnon et je me retrouve seul avec mon accompagnateur quand nous apercevons un peu plus loin un coureur qui dépose son gobelet devant une propriété en espérant que les gens le ramasse et le mette à la poubelle. Là je dis pas bien, il y a des poubelles aux ravitaillements on est quand même pas à 20 secondes près.



Bref, je commence à avoir les pieds qui chauffent et j'ai pas envie d'avoir des ampoules comme à Steenwerck alors je demande à Pascal de bien vouloir préparer le nok pour le prochain arrêt mais dans la précipitation du matin, le tube est resté dans la voiture, nul le gars. J'en ai 2 tubes et je trouve le moyen de pas en mettre un dans le sac. Ca m'énerve mais bon, je vais devoir faire sans.

KM 30
nous sommes dans la Ferté Imbault et je garde toujours le même rythme.

KM 32
200 mètres devant nous un accompagnateur fait un gros écart avec son vélo et va en percuter un autre. Dans leur embardée ils entraînent avec eux un coureur. Je m'arrête vite fait mais comme y'a pas grand bobo, Pascal me dit de continuer d'autant plus qu'une accompagnatrice arrive en affirmant avoir tout ce qu'il faut pour soigner les bobos.

Peu après j'arrive à la hauteur du coureur touché par l'incident que j'ai relaté auparavant mais la veste que porte son accompagnatrice, son épouse me dit quelque chose. De couleur jaune, comme celle de Francine, ne serait-ce pas un membre de son club ?
Et effectivement ils me disent connaître la Francine, l'extra-terrestre ! (Euh..... ils connaissent pas le Glaude et le bombé ?)
Pour information, ce sont des personnes qui habitent dans la Saône et Loire depuis leur retraite mais ont gardé leur club de la région parisienne. Je pense que Francine dois savoir de qui il s'agit...

Les longues lignes droites se succèdent les faux plats commencent à faire mal. Le parcours est annoncé sans grande difficulté mais ces légers dénivelés au final laisseront des traces.




KM 40
A la table du ravito une personne fait un pointage. Il dit à un concurrent qu'il y a environ 75 coureurs devant nous.
Je repars toujours à la même allure. Un peu plus loin, à un carrefour des signaleurs ont sorti de bonnes bouteilles. J'en prends une au passage ? Je leur souhaite bon courage car rester en plein soleil une bonne partie de la journée faut vraiment en vouloir. Merci à vous.



C'est aussi à ce moment précis qu'une petite douleur apparaît au niveau d'un orteil du pied droit et ce n'est pas celui auquel j'aurai pensé. La douleur est supportable et heureusement elle s'atténuera par la suite.

KM 42,195 une personne nous pointe de nouveau et nous annonce nos temps. Mais j'ai surtout la surprise de voir un coureur se mettre à marcher et sortir de sa poche un paquet de cigarettes. Il va quand même pas s'en griller une ! Ben si (il paraît même qu'il a passé la ligne d'arrivée la clope à la main).

Après le ravitaillement du KM 45 nous prenons le direction de Marcilly en Gault. Jusque là je me suis arrêté à tous les postes et j'ai un peu abusé sur le coca. Je vais donc zapper le ravito du 55e où juste après nous entrons sur la grande portion non bitumé du parcours sur 1,7 kms environ (plus les 300 mètres à la Ferté Imbault c'est un total de 2 km de chemin).

KM 66
nous traversons Saint-Viâtre. Très peu de spectateurs. Quelques personnes assises à la terrasse d'un café ne nous portent aucune attention. Ce sera d'ailleurs le cas dans tous les villages traversés (ça vaut pas la ferveur du Nord).
A la sortie du village un point de côté fait son apparition. Je dois ralentir et après quelques exercices respiratoires il finira par partir après 3 ou 4 minutes.

KM 70
j'arrive à la hauteur d'un coureur qui nous dit avoir fait cette distance à 10 km/h et qu'à partir de là il marchait, ce qui ne sera pas mon cas car je garderai cette vitesse jusqu'au 75e.
Peu avant la batterie de mon GPS m'a lâché. Heureusement j'ai une montre de secours.
Ca commence à tirer un peu dans les jambes mais c'est supportable.



Sur les 5 kms qui suivent je vais ralentir sensiblement avant de refaire un 5 km à 10 de moyenne mais après les muscles vont me faire comprendre de plus recommencer. Je sais aussi que des ampoules ont fait leur apparition aux pieds. Il faut désormais que je fasse attention où je mets les pieds.

Au début de la course je faisait la remarque à Pascal que les routes empruntées étaient en meilleur état qu'à Steenwerck mais de temps en temps les routes sont bombées et dans ces conditions j'ai du mal à mettre un pied devant l'autre.

KM 80
Une personne vient vers moi en me disant "un PCAP !" ; "tu connais Marc ? " ; "Fais lui un gros bisous sur le front..."
Il s'agit de Jean-Luc l'organisateur des 24 heures de Villennes (78) qui est venu voir l'épreuve et qui connais visiblement pas mal de monde. Il embrasse d'ailleurs tous les membres PCAP présents à Villennes.

Nous nous dirigeons vers la Ferte Imbaut pour traverser la ville dans l'autre sens en direction de Theillay terme de cette épreuve.

Je ne m'arrête plus à tous les ravitos de peur de ne plus repartir. Tout me fait mal, les muscles des jambes, les genoux, l'épaule droite et le torse a cause du logo du maillot.
Pascal à la gentillesse de s'arrêter à ma place pour remplir la bouteille d'eau. Les longues lignes droites se succèdent avec parfois des petits faux plats qui font mal, j'ai envie de m'arrêter mais ma tête me dis de continuer pour mon pote qui a fait l'effort de venir me soutenir et il le fait à la perfection.
La chaleur de l'après midi se fait aussi ressentir. Quand nous ne sommes plus protégés par l'ombre des arbres je souffre encore plus.
Heureusement j'ai pris une casquette que je plonge souvent dans les nombreux bacs d'eau mis à notre disposition par l'organisation pour me rafraichir.





KM 90
A la sortie de La Ferté Imbault nous retrouvons Jean-Luc au ravito. Pascal enregistre un petit message vidéo...

Désormais le moindre évènement prend des proportions dramatiques
Une mouche me tourne autour m'énerve et je le fais savoir de vive voix. Pascal est à mes côtés et ne dis rien. Quelque chose me pique derrière le mollet et je hurle !
J'en vois plus le bout, il est où ce 95e km ???

Sur l'avant dernier ravitaillement un volontaire vient vers moi un gobelet d'eau en main, je le remercie mais je peux rien avaler.
Jean-Luc que nous retrouverons peu avant le 95e (ben oui, il est rapide il se déplace en voiture) me lance "T'es presque au 95e sers toi de ta tête"
C'est super gentil mais ma tête lutte contre la pression que lui mettent mes jambes pour abandonner.
Pascal trouve les bonnes paroles pour me motiver.

Enfin le 95e, je vais marcher un peu, même pas 150m.
Cela me coûtera certainement quelques places mais c'est pas grave, j'en peux plus.
Maintenant tous les kilomètres sont indiqués.

KM 98
4 concurrents me dépassent dont un qui depuis le 60e km alterne course et marche, 12 minutes en courant 6 minutes en marchant.
Je suis à l'agonie. Pascal me dis que même en marchant les 2 derniers km je fais un bon temps. Je reprends ma montre que j'avais quitté peu de temps auparavant pour ne pas me prendre la tête avec le chrono.
Je me retourne et ne vois personne derrière. Le panneau 99e km fait son apparition au loin. Je vais le terminer dans la souffrance et en courant comme je peux.
Quelques personnes assises sur le trottoir me lancent des mots gentils et les en remercie, les derniers signaleurs me disent plus que 400 m, enfin j'aperçois l'arrivée, un dernier effort je lève les bras, le speaker annonce mon nom c'est terminé en 10:38:13 à ma montre officiellement en 10:38:15.

01H07 de mieux qu'à Steenwerck je ne peux être qu'heureux. 61e sur 138 classés.
Je dois quand même rappeler que sur mon premier 100 bornes j'ai perdu beaucoup de temps dans des galères que je n'ai pas rencontré là certainement grâce à la présence d'un suiveur comme Pascal qui a tout géré pour que je fasse la course dans les meilleures conditions possible.


Je vais aussitôt récupérer le tee-shirt de finisher. La dame m'autorise à garder mon dossard en souvenir, c'est super sympa.
Une autre femme me remet un coupon avec l'adresse du site où nous pourrons voir les photos de la course et m'invite à remplir une fiche si je souhaite être prévenu par mail.
Je file ensuite au ravito d'arrivée chercher une bière pour moi et Pascal. Après l'avoir dégustée un bénévole a la gentillesse de nous prendre en photo.



Ensuite nous allons à la voiture pour y ranger le vélo, quitter mes chaussures pour des tongs et direction la salle de récupération pour un bon massage mais surtout pour soigner les ampoules de mes talons.

Arrivés dans la salle 2 kinés super sympathiques ne chôment pas. Pour les ampoules, la kiné me dit qu'ils ont le matériel mais seul le médecin est habilité à les soigner cependant il n'est pas très motivé pour traiter ce type de bobologie. Qu'à cela ne tienne je me débrouillerai seul.
Elle me signale aussi que j'ai des brulures sous les bras mais elle ne sais pas que j'en ai aussi sur le torse. La maillot PCAP est pratique pour être reconnu sur une course mais il n'est pas fait pour de la longue distance. Je vais trouver une solution…

Quelques instants après un responsable de l'organisation vient voir si tout se passe bien et la kiné va lui faire part des problèmes d'ampoules...
Quelques minutes plus tard le médecin arrivera et s'occupera de moi.

Aussitôt soigné nous reprenons la route de Mareuil sur Cher où la famille de Pascal nous attend et heureusement car j'aurai été incapable de rentrer sur la capitale.
Après les félicitations, l'apéro bien sûr, ce fût une bonne partie de rigolade autour d'une excellente pierrade.

Dimanche matin, la nuit a été difficile, il faut dire au revoir à tout le monde pour rentrer à la maison, retrouver mon épouse, les enfants, les chiens et le cochon d'inde.


Pour conclure une superbe épreuve, bien organisée avec des bénévoles d'une gentillesse et d'un dévouement exemplaire comme dans la grande majorité des courses auxquelles j'ai participé.
Un parcours sans grande difficulté qu'ils annoncent sur leur site. Effectivement le circuit n'est pas vallonné mais la succession de grandes lignes droites et les petits faux plats rendent cette épreuve plus difficile que Steenwerck même si l'état des routes est sensiblement meilleur que dans le Nord. C'est mon avis, cela n'engage que moi.
Un petit regret, et là encore cela n'engage que moi, l'ambiance des Flandres m'a un peu manqué (musique, spectateurs )

Je dois remercier :
Mon épouse qui m'a laissé participer à cette belle épreuve.
Pascal pour tous les efforts qu'il a du faire pour me suivre, son soutien sans faille, son courage pour me supporter et pour le film qu'il est en train de monter.

A ses parents pour leur gentillesse et leur accueil très chaleureux.
Au frère de Pascal et à son épouse pour leur bonne humeur.

Aux membres de PCAP qui m'ont soutenu.
Aux coureurs croisés sur le parcours ainsi que les proches et collègues qui m'ont encouragé.

Pour terminer je ne féliciterai pas les coureurs qui ont jeté dans la nature où sur le bord de la route leur tube de gel.



Liens de la galerie photo :
http://picasaweb.google.fr/hubert75003/100KmDesEtangsDeSologneLe29Aout2009#


Lien de la vidéo :

Première partie : http://www.dailymotion.com/relevance/search/100+sologne/video/xadaog_100-km-des-etangs-de-sologne-2009-p_sport

La seconde partie :
http://www.dailymotion.com/user/hubertparis/video/xae48k_100-km-des-etangs-de-sologne-2009-p_sport




Les résultats officiels de la compétition :
http://bases.athle.com/asp.net/liste.aspx?frmbase=resultats&frmmode=1&frmespace=0&frmcompetition=035332



Hubert Leclercq 75003 / 80220
10 km 43'51 ; Semi-marathon 1h41'55 ; marathon : 3h49'17 ; 100 km 10h38

1 km c'est rien, 100 km c'est cent fois rien ! From Pascal75


Message édité par : hubert75003 / 06-09-2009 14:28




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