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15 km Les Hodelots à Berny Rivière - Edition du 20/09/2009 (version Pascal75)
Pascal75

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 gniaqueur

  Posté : 23-09-2009 16:46

Les Hodelots – 15 Km de Berny-Riviere


Une nouvelle rencontre PCAP était organisée à l’initiative d’Isabelle. Elle permettait de rencontrer d’autres membres des régions voisines.
Pour moi, c’était l’occasion de renouer avec la compétition. Je n’ai pas fait de course depuis les foulées de St Germain-en-Laye il y 3 mois.

La course se déroulant dans l’Aisne, c'était une aubaine pour rendre une visite à mon frère, et pour lui, l’opportunité de me faire visiter son mobil home acquéri il y a peu. Et Justement, il se trouve à 5 km de Berny-Rivière !
Durant la semaine qui a précédé ce week-end, j’ai tellement galéré dans mes entraînements avec Hubert, que je me suis demandé si j’allais participer à l’épreuve.
Cependant, il était évident que je sois présent, pour au minimum, filmer la course des copains. Une rencontre Pcap ne se loupe pas !
La veillée en compagnie du frangin, et de Patrick fut très arrosée, et s’est éternisée assez tard. Toute la nuit des crampes sont venues troubler mon sommeil… Pas l’idéal pour entreprendre une course dans quelques heures.

Depuis une semaine un défi a été lancé : Francine avait décidé à battre Hubert dans ce 15 km… Lui, avec le moral d’enfer que lui a procuré son 100 km en Sologne, était bien déterminé à finir devant elle. Ce petit duel à distance par messages interposés (jusqu’au jour de la course) a pimenté la rencontre. Raison de plus pour ne pas manquer cela !



Hubert et sa petite famille en compagnie d'Isabelle, Pascal, et Emre nous rejoignent au mobil home du frérot.
Patrick est déjà sur place. Levé de bonne heure, il a juste fait un petit tour à la pharmacie du coin pour acheter des anti-bobos « mal de tête » !
Tout le monde a l’air fatigué ! Tous, se sont couchés tard et pour l'instant la motivation n’est pas de rigueur. Pourtant, contrairement à ce qui avait été annoncé, le soleil est présent. Aujourd'hui le thermomètre va grimper. La nonchalance du groupe n’empêche pas Hubert d’effectuer son petit rituel d’avant course. Pour lui également, le samedi a été chargé, avec deux repas d’anniversaire dans la même journée... et couché à 4h00 du matin.
Il a quand même mis la pression sur Francine. Le biloute n’a pas fait d’abus et se sens en très grande forme… Bref, ça va saigner !

Vers 12h30 nous partons retrouver les autres membres Pcapiens à Berny-Rivière. Lors du trajet, je remarque que les environs sont assez vallonnés. Maintenant, j'en suis convaincu, la course sera loin d'être facile. En arrivant sur le terrain de football qui sert de parking, les organisateurs nous font garer sur le coté, mais en voyant que nous connaissons une partie des gens stationnés derrière un but, ils nous autorisent à aller les rejoindre.
C’est ainsi que je fais la connaissance de Roger(s) avec sa moitié, Ptitlievre69 et son mari et puis Joseph… Ravi de mettre des visages sur des pseudos ou un prénom…. Également enchanté de rencontrer des personnes aussi gentilles que sympathiques.
C’est tous ensemble que nous allons récupérer les dossards, dans la joie et la bonne humeur.



Par la suite, nous avons droit à un agréable pique-nique ou la gaieté et le bonheur d’être ensemble règne de bout en bout. Je n’oublie pas les «bonnes» bouteilles offertes et débouchées par Roger… Hubert en profite également pour renouveler son petit rituel (Eh biloute, au-delà, ce sera du dopage !). Le petit sourire en coin, de Francine en dit un peu plus long...



Mon frère, découvrant le tableau, se demande s’il ne va troquer ses cannes à pêche contre une paire de baskets pour se mettre à la course à pied.
Après nous être restauré (un peu trop ?), nous nous préparons pour l'épreuve. Pour ma part ça consiste à enfiler mes baskets et épingler mon dossard. Pour d'autre c'est un véritable protocole : Hubert et son «Nok» et son élastoplaste. Pascal et Marc avec leur beurre de Karité... beurk... Francine a l'air septique sur efficacité du produit.



Je laisse tout ce petit monde pour me rendre sur la place de la Mairie et profiter des diverses animations, en attendant les Ă©preuves.



14h30 : Nous assistons au départ des deux premières courses, celles dites populaire qui est de 2,9 Km pour les Benjamin-Minimes et de 4,5 km pour les autres.
Un joueur de cornemuse chauffe l'ambiance avant que le coup de feu retentisse.

En voyant, les visages des premiers arrivants, tout le monde est unanime pour dire que la course sera placé sous le signe de la souffrance et surtout de la chaleur.

Moi, je suis assez détendu… je filme l’attente du départ et m’amuse avec le caméscope au milieu du folklore local. Je ne ressens aucun stress d’avant-course.
Je suis seulement conscient, que dans quelques minutes, je vais peiner… comme tous les autres participants.
Un couple, habillé style années 30, nous propose un jus de pomme 100% naturel car fabriqué devant nos yeux, un peu plus loin sur le parvis de la mairie. J’ai le tord, mais également l'envie avec la chaleur, d’accepter un verre, que je vais regretter pendant la course. En attendant, je déguste le nectar avec plaisir…
Roger et Isabelle, de retour d’un échauffement de 50 minutes, partagent avec les membres leurs impressions sur le circuit et les difficultés du jour. Je les écoute à peine et m’imprègne plutôt de la bonne ambiance qui règne sur la place.
C’est en me rendant sur la ligne de départ qu’à mon tour je m'informe sur les embûches du parcours. Déjà que la température va jouer son rôle, il ne faudrait pas que je me laisse surprendre par un itinéraire que je suppose relativement difficile.


La fine Ă©quipe.

Hubert me dit qu’il y a une côte à 3 km, longue d’un peu près 1000 m. Le seul problème, il faut la gravir 3 fois… La cerise sur le gâteau ! Quand même, au prix ou sont les cerises, ils auraient pu la couper en deux.
Je me tourne vers Francine, et lui demande si la grimpette fait bien 1 km. De son coté elle coupe le bigarreau en trois... « Mais non, elle est bien moins longue que ça ! »
Et me dit (toujours avec malice) qu’il faut bien gérer le parcours.
Alors là, bravo Francine… Il va falloir que je gère le premier tour…virtuellement, en le découvrant.
De toute façon, je compose entre info et intox que ces deux là me racontent ! Il sont déjà dans leur duel, et l’issue de l’opposition est loin d’être connue. En attendant, il y en a un, pas si distant, qui ne dit rien, mais n’en pense pas moins : Marc !

Toute l’équipe Pcap est derrière les 250 participants que composent le peloton de la Course Régional des AS. Hormis Emre, qui s’est placé en tête. Effectivement, lui, ne joue pas dans la même cour qu'Hubert et consort. D’ailleurs personne de l’équipe ne lui a lancé de défi… Pfff, tous des petits joueurs !

Le coup de feu retenti, Bang, c’est parti !... je me sens bien ! départ hyper tranquille, je suis derrière Hubert et Francine qui n’ont pas déclenché la bagarre. Ce qui me semble louche c’est que la tête de course ne va pas plus vite que nous… Au bout de 250 mètres : Ralentissement , puis arrêt des coureurs. Que se passe t’il ? Une manif ? Les producteurs de jus de pomme en colère ? Et bien non ! Hubert me dit que le départ officiel a lieu ici et maintenant.
Comme vous pouvez le voir, je suis Ă  fond dans la course.
Pas le temps de refroidir ou de phraser avec les potes : nouveau coup de feu ! Re-Bang !
Cette fois, ça part vite... Comme les dupont-dupond je dirais même plus : Ça flingue !
Francine à gauche, Hubert à droite… Marc me dépasse…et crie : « Attention Hubert s'en va ! »
Effectivement le biloute se croit au départ d'un Grand Prix de F1, passe plusieurs coureurs, monte sur le trottoir, se rabat… freinage tardif pour éviter un concurrent, et accélération pour le dépasser sur la gauche. Francine attentive à ce qui se passe et alertée par la voix de Marco, rejoint Hubert.
Quel départ ! Le nok d'Hubert et le beurre de karité de Marco doivent chauffer,

Je n’essaye même pas de les suivre, ne tente aucun dépassement, quitte à me faire virer de mon écurie, par soleia et par SMS (il paraît que c'est à la mode).



Pourtant ça va vite, les runnings fument. Il faut dire que l’on commence par une descente. De retour sur un terrain plat, je stabilise l’écart avec le trio rouge (Pas l’écurie au cheval cabré, mais celle de Pcap composée d’Hubert, Francine et Marc).
Sans slalomer, mais en tenant une foulée rapide je ne perd pas une miette de la bagarre qui se déroule 20 mètres devant moi.



Nous devons effectuer un petit tour d' 1,5 km, avant d'entamer 3 fois un circuit de 4,5 km, J'essaye de ne pas trop entamer mes forces... dommage, car je risque de ne plus voir le challenge qui se déroule devant. Au détour d'un virage en épingle à cheveux, on se croise. J'en profite pour faire un petit signe au trio... seule Francine me répond avec un petit geste de la main... Hou là là, mon pote n'a pas l'air bien, ou alors il reste concentré sur le sujet. Marco est tranquille au milieu des deux.

Moi, je souffre un peu... mais pas trop pour l'instant... pourvu que ça dure !

Nous sommes très applaudit au passage sur la ligne. Ça fait du bien, d'autant plus que la femme de Roger; ptitlièvre69 et son mari, ma chérie, ma nièce et son petit copain (Anthony) et mon frère nous encouragent, même si parmi tout ce monde je ne les vois pas. Je ne sais pas à quelle allure je cours... J'avais regardé ma montre au premier départ, mais pas au second.
A la borne du deuxième kilomètre je double une concurrente qui en même temps regarde son chrono. Je lui fais part de mon désarroi d'avoir oublié de déclencher le mien. Elle me répond : « 9'30 ! »
Purée... faut que je ralentisse sinon, je ne terminerai pas l'épreuve, et pas très sûr de terminer la première boucle du grand circuit.
Reste que le trio rouge n'est pas très loin. A peine quelque mètres devant moi. Je vois mon pote à la peine. Il a dû oublié que dans le pseudo de Francine il y avait «défi».


Le trio Pcapien... le premier coureur jaune, c'est moi !

Les questions m'envahissent : Que dois-je faire ? Ralentir pour éviter la marche ou carrément l'abandon ou continuer encore un peu sur ce rythme... La première solution semble la plus sage.
Et les autres ? Je veux dire Isa, Patrick, Joseph... Ils sont où ? Punaise, j'ai mal joué sur ce coup là. Comme d'habitude, je suis parti trop vite et je me retrouve coincé le cul entre deux chaises.


Pascal (Fox92) attend son heure, suivi par Roger et Isabelle.

De mon poste d'observateur privilégié , je vois Hubert lâcher prise sur Marc et Francine centimètres par centimètres. Maintenant, j'en suis sûr ! Le biloute n'est vraiment pas bien. Le 100 km qu'il a effectué il y a trois semaines est encore trop présent pour qu'il réalise un bon chrono.


Hubert ne peut suivre le rythme de Marc, puis de Francine... Pour l'instant, je ne suis pas très loin.

Je ne me presse pas, et j'Ă©vite de regarder le dos du maillot rouge de mon copain, ou le pseudo : Hubert75003 s'Ă©tale Ă  chaque fois que mon regard se pose dessus.
Au début, je croyais que ce n'était qu'une illusion ! Mais au bout de quelques foulées, l'incertitude devient réalité : Mais oui... mais oui... je reviens bien sur lui !
Tranquillement j'arrive à sa hauteur. « Alors mon Bébert, pas le top on dirait ! »
Il m'annonce ce que je savais déjà. Son départ était un suicide ! Il aurait mieux fait de se noyer dans un Ricard, la souffrance aurait était moindre.
Je le passe, en croyant qu'il va me prendre la roue ou plutôt les runnings... J'en rage après moi. Je n'ai pas encore de maillot Pcap avec mon prénom écrit dessus... Sur le coup, j'imagine un énorme « Pascal75 » clignoter comme un sapin de noël, devant les yeux de mon pote. L'occasion est trop belle et si ça se trouve, elle ne se reproduira plus jamais... Déjà que j'ai égaré mon corsaire depuis Torcy...


Joseph et Patrick ne démérite pas.

Je quitte « La fabrique », village rattachée à la commune de Berny Rivière. Je trouve la route interminable, faite de faux plats montants et descendants. Je sais qu'à un certain moment, nous allons tourner à gauche, et que le faux plat montant va laisser place à une côte... et pas une côtes du Rhône comme celle de la veille, qui elle, se descendait plutôt facilement.
Néanmoins, je digère la bosse avec une certaine aisance, un poil vite, mais sans trop entamer les forces.
Les organisateurs ont eu la bonne idée d'inscrire notre prénom sur le dossard. Au sommet de la difficulté du jour, des fillettes m'encouragent en me lançant des « Allez Pascal ». J'écoute avec attention les prénoms suivants. Je n'entend aucun  « Allez Hubert ». Aurais-je lâché le biloute ? Et bien, si maintenant les accompagnateurs lâchent leur champion, ou va la course à pied et le monde en général ?
Ragaillardi par la situation, j'entame mon second tour avec entrain. A la sortie du virage, j'entends les encouragements de ma nièce, et aperçois mon frérot... Je lui fais savoir que pour l'instant ça va !...
Enfin... ça va , ça va... ça reste à voir ! Je n'ai pas encore passé la mi-course et j'ai déjà laissé beaucoup d'énergie en chemin.
A 300 mètres, je distingue le maillot rouge et le short gris de Francine. Marc est désormais loin devant. Je pense à Hubert qui pour l'instant lutte avec lui même, mais qui, j'en suis persuadé, va revenir sur moi.
Roger, je l'imagine en tête pas très loin d'Emre, C'est à l'arrivée que j'apprendrai qu'il a du renoncer.
Et les autres ? Ils sont oĂą ?
J'entre de nouveau à « La Fabrique ». Qu'elle genre de fabrique peut donner son nom à un village ?
Le cortège qui ouvre la course me passe sur la droite, bientôt suivi par une fusée. Les premiers me prennent un tour. Je les envie, dans quelques minutes leur course sera terminée.


Le futur vainqueur ne va par tarder Ă  me prendre un tour.

Au premier étage d'une bâtisse, derrière sa fenêtre, une petite dame nous encourage. Le coureur qui me suit la remercie.
Tiens ! Je connais cette voix ! C'est Pascal, alias Fox92. Lui, je l'avais oublié ! Il se porte à ma hauteur.
Il a rejoint Hubert qui est dans la souffrance. Puis il s'est attaqué à moi en gardant mon maillot jaune fluo, dans sa ligne de mir. Le playboy de Pcap à l'intention de rester avec moi. Vu sa condition et son allure, je lui dis qu'il est plus raisonnable et profitable de rattraper Francine un peu plus loin.


Marc est parti pour un super chrono.

En me rafraichissant avec de l'eau déversé sous une rampe, je le laisse prendre quelques longueurs, et l'abandonne à son rythme, beaucoup plus rapide que le mien.
Après la course, il me dira qu'en dépassant Francine, il lui a lancé : « De la part d'Hubert ! »



Panneau 8 km de course : La moitié est faite et je ne vais pas tarder à entamer la deuxième montée. Je ne suis pas mal, mais mon ventre lance des « gargouillis ». L'impression que si je lâche une « perle », il ne sortira pas seulement que du gaz... Je ne vais quand même pas m'arrêter !
Le jus de pomme fait son effet... déjà que je porte un maillot trop voyant, maintenant les concurrents vont également me suivre à la trace (et à l'odeur ?). Allez Pascal, pas la peine de baliser un parcours déjà excellemment signalé. Je sers les fesses, y'a rien qui presse... je ne prend pas de pause, et pense à autre chose... notamment l'entame de la seconde grimpette de l'après-midi.
La montée est pénible, fatigante... mes foulées sont affligeantes. Au lieu de me redresser, je me courbe sur la route. Mon dos devient douloureux... mais il me fera souffrir davantage dans la descente.
Les applaudissements dans Berny me font du bien et me redonnent un peu de vigueur. Les supporters Pcap m'encouragent de vive voix ! Sous la banderole, le chrono défile : 10,5 km en 53'40... ma fois, c'est pas si mal !


Maintenant, je gère ma course (en jaune),

J'ai peur de faire un dernier tour lamentable, alors en passant devant mon frère je lui dis que je vais mettre du temps pour arriver, et qu'il ne m'attende pas pour l'apéro !
Un coureur me tape dans le dos, et m'encourage à son tour. L'appel de l'apéro ? Vous croyez ?

Maintenant c'est « cours » ou crève !
Dans combien de temps Hubert va me rattraper ? Si c'est maintenant, ce n'est pas grave, c'est même normal ! Si c'est dans les derniers mètres, ça me ferait c.... Et puis aujourd'hui, je n'ai pas besoin de ça pour faire dans mon short.
Je prend kilomètre par kilomètre, je retarde l'échéance pour marcher. Je passe une dernière fois dans le village de la fabrique. Maintenant que j'écris ce récit, je peux le dire, c'était une sucrerie.
J'ai hâte d'être une dernière fois dans la côte, signe de la fin de ma galère. Je ne peux pas aller plus vite, mais maintenant je sais que je finirai la course sans avoir marché. La montée se fera tranquillement sous les applaudissements des résidents sortis de chez eux. Une bénévole me propose une bouteille d'eau. Je la refuse pour en prendre une 100 mètres plus loin. J'entends la cornemuse.. ça sent bon l'arrivée. Je ne me retourne pas, de peur de voir surgir mon pote. La descente... j'allonge les foulées. Je donne tout ce qu'il me reste ! Marc et les autres Pcapiens m'encouragent ! Le chrono indique 1'18'45... 46... Il va défiler jusqu'au Bip de la délivrance.
Je suis heureux, fier de moi, d'avoir repousser les limites. Ce n'est pas un chrono exceptionnel, J'ai déjà fait mieux, mais aujourd'hui, il me satisfait amplement. C'est a peine si j'arrive à rester debout pour récupérer le blouson que les organisateurs nous offrent à la place du traditionnel tee-shirt. Quand on me demande ma taille, par manque de lucidité, je répond comme pour un maillot : XL... Aujourd'hui, je me retrouve avec un manteau 2 fois trop grand pour moi.
Ce n'est pas grave. L'essentiel était dans la rencontre Pcap du jour. Un dimanche trop vite passé... Finalement mon frangin préfère garder sa canne à pêche. Il trouve la course a pied un peu trop fatigante pour ses petites jambes... mais il a adoré partager ces moments avec nous.

Après un dernier pot, chacun est reparti de son côté... En attendant une nouvelle rencontre...
Pour clore cette belle journée, deux podiums Pcapien ont eu lieu : Francine, qui a gagné son duel avec Hubert, termine deuxième VF1 et Isabelle a droit à la plus haute marche en remportant La course VF2. Bravo à toute les deux.

Attention Francine, Hubert espère bien prendre sa revanche. De mon coté, il va falloir que je m'entraîne comme un fou pour les suivre et ne rien perdre du spectacle.

Merci à Isabelle pour être l'initiatrice de la rencontre, et à soleia qui a permi de la concrétiser. Merci également à tous nos supporters de la journée...

Je ne suis pas doué pour mettre des photos sur le site. Pour les personnes qui le souhaite, je mettrai en lien, mon récit en pdf, avec plein d'autres photos.



Cet article provient de passioncourseapied.fr

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