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mapuce09
 54 
 trotteur
 Coureur
|  Posté : 16-08-2006 21:21
Je voudrais savoir comment vous vous préparez mentalement avant une course? s'il vous arrive de douter? d'avoir une apréhension sur son déroulement ou sur votre forme physique? se dire est-ce que je vais y arriver? ou bien à quel point je vais galérer ? et comment vous faites abnégation de ces pensées parasites qui arrivent à gacher le plaisir pour lequel on cours à la base. Si vous avez des petites astuces n'hésitez pas à les partager et s'il vous est arrivé de vous planter totalement en vous mettant tout seul la pression. 
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 Profil 
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| Indomptable83
25
 glandeur
Coureur
| Posté : 16-08-2006 22:56
Les doutes et les craintes c'est pas dans les heures qui précèdent..
Du moins pour moi.
Tout commence sur la ligne, quand le départ est donné.
Dès les premières foulées, je m'interroge..
Quand mes muscles donneront leur plein rendement?
Là , ils sont froids et je n'ai pas encore calé mon souffle.
Puis ensuite, comme chez tout coureur, les muscles répondent mieux au bout de 4 ou 5 kilomètres. Parfois davantage..Le souffle se cale, je prends mon rythme de croisière.
Ensuite, c'est dans le dernier quart de la course que les craintes s'amplifient.
C'est maintenant qu'il faut pousser, accélérer, tout donner, mais que me reste t'il comme ressources?
Vais je en être capable?
Il est évident que c'est différent d'une course à l'autre, entre un 10 km et un semi ou un marathon, c'est plus ou moins présent.
Mais dans tous les cas, c'est dans le dernier quart de la course que tout se joue pour moi..
Mais si le mental est là , si la détermination fait rage, alors bien souvent et malgré la fatigue et le doute, les jambes répondent..
Le mental, tout est dans le mental...................
Message édité par : Indomptable83 / 16-08-2006 22:58 |
Profil
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| Quartz
53
trotteur
 Coureuse
| Posté : 18-08-2006 13:03
De toutes manières le mental c'est le carburant autant que le glyco dans les muscles.
Diosns que c'est le Glyco de la tête. 
Si on prend un départ avec un mental diminué on fera rien de bon.
Quoique parfois il y a un revirement soudain en course.
Ca m'est arrivé. Partie avec des doutes, mauvais départ, puis à mi parcours, avant ou plus tard, je sens revenir cette force, cette volonté, cette assurance.
Oui, ça arrive aussi et tant mieux.  |
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| Mrdetraviole
75
trotteur
Coureur
| Posté : 18-08-2006 13:46
Ah ces Nanas.
Bon sang! 
Je viens de voir que tu étais Bretonne toi aussi. Tout comme Geode.
On est pas sortis de l'auberge les mecs!
Je salue au passage Mapuce.   |
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| mapuce09
54
trotteur
Coureur
| Posté : 18-08-2006 14:14
salut mrdetraviole!!! Mapuce09 tiens à signaler qu'il n'est pas breton et ça...ça aide vachement dans la vie  |
Profil
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| Roadrunner06
173
trotteur
Coureur
| Posté : 18-08-2006 23:53
Hi hi, je pense à la tête que vont faire nos 2 Bretonnes quand elles vont lire les posts sur ce fil.. |
Profil
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| soleia
47539
 éclaireur
Coureuse
| Posté : 22-08-2006 13:21
Moi je suis pas bretonne... ok, je vaux pas mieux que les Bretons
Mais en attendant, je suis pliée de rire lÃ
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Un héros, c'est celui qui fait ce qu'il peut. Les autres ne le font pas.
(Romain Rolland)
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Profil
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| soleia
47539
éclaireur
Coureuse
| Posté : 24-08-2006 00:20
Pour en revenir à la préoccupation de mapuce...
Moi, mes plus grosses appréhensions c'est quand je vais courir un marathon... les minutes (parfois longues !) d'attente derrière la ligne, avant que le départ soit donné... plein de questions dans ma tête "vais-je tenir l'allure que je me suis fixée ?" "pourvu que je n'aie pas d'hypoglycémie !"
Mais dès que le départ est donné, je suis dans la course et mon stress disparait d'un coup !
Pas trop d'angoisse sur un 10 km ou un semi... Mais il est vrai que j'en ai déjà couru plusieurs...
Avec l'expérience, on relativise
Sinon, on finirait par oublier qu'on court avant tout pour se faire plaisir |
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